Erreur médicale, décés de mon beau-père

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Posté le Le 28/08/2016 à 05:25
Bonjour,
Mon beau-père âgé de 89 ans, est rentré à l'hôpital le
samedi 5 mars 2011 pour une bronchite importante, c'est
un homme dont le coeur et les reins étaient fatigués mais
il n'était pas à la mort. Il a été placé en soins intensifs,le mardi l'équipe médicale parlait de le faire sortir sortir des urgences pour aller auservicecardiologie.Une infirmière nous a dit il n'est pas à la mort Je suis passé le voir,le mercredi 9 mars à 18h15. Il était somnolent,et avait un pouls de 69/70 normal pour une personne assise. Par deux fois mon épouse et ma belle soeur ont précisé au service qu'il ne supportait pas les tranquillisants. Le service a répondu qu'il savait ce qu'il faisait. Dès le mardi il lui en avait
administré. Le jeudi à 15h15,mon épouse va lui rendre visite on la fait patienter dans la salle d'attente alors que les jours avant cela ne se passait pas ainsi.Un quart
d'heure plus tard elle reçoit l'autorisation d'aller à sa chambre et le trouve MORT. Personne ne l'a prévenu.
Nous demandons a voir le cardiologue,étonné que nous voulions le rencontrer. IL dit à mon épouse et ma belle-soeur: " Et bien oui votre père n'a pas supporté le traitement, il était tout de même âgé de 89 ans on allait
tout de même pas essayer de le ranimer" et termine sa
phrase en riant. Entre de deux j'avais essayé d'avoir des infos médicales de prescriptions des médicaments, mais tous
les documents avaient été retirés du tableau. J'ai toutefois récupéré dans la poubelle le tableau des posologies médicamenteuses du 9/3 à 12h au 10/3 à 12H mais
mis à la poubelle le 10/3 à 9H10.
Ce dimanche matin,j'ai consulté cette feuille et je me suis
rendu compte qu'on lui avait administré le 9/3 à 22h un
tranquillisant appelé IMOVANE dosé à 7.5 MG, or ce médicament doit être délivré au personne de + 65 ans à
dose de 3.75 MG , DANGEREUX pour l'insuffisance respira
toire sévère et sujet à risque.
La façon dont ma épouse avait été reçue et la manière
du cardiologue à lui répondre, nous ont fait soupçonner
surtout une erreur de prescription et non un traitement
non supporté par mon beau-père qui était,la veille prêt
à quitter ce service car allant mieux.
Son médecin traitant ne lui donnait jamais de tranquillisant car il ne les supportait pas. Voyant la
dose prescripte, nous ne serions pas étonnés que c'est ce
cachet donné à 22h la veille qui l'a plongé dans une
insuffisance respiratoire aîgue.Comment pouvons nous défendre ? Mon beau père est incinéré jeudi 17/03 ?

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Posté le Le 28/08/2016 à 05:25
Cher monsieur,
Citation :


Ce dimanche matin,j'ai consulté cette feuille et je me suis
rendu compte qu'on lui avait administré le 9/3 à 22h un
tranquillisant appelé IMOVANE dosé à 7.5 MG, or ce médicament doit être délivré au personne de + 65 ans à
dose de 3.75 MG , DANGEREUX pour l'insuffisance respira
toire sévère et sujet à risque.
La façon dont ma épouse avait été reçue et la manière
du cardiologue à lui répondre, nous ont fait soupçonner
surtout une erreur de prescription et non un traitement
non supporté par mon beau-père qui était,la veille prêt
à quitter ce service car allant mieux.
Son médecin traitant ne lui donnait jamais de tranquillisant car il ne les supportait pas. Voyant la
dose prescripte, nous ne serions pas étonnés que c'est ce
cachet donné à 22h la veille qui l'a plongé dans une
insuffisance respiratoire aîgue.Comment pouvons nous défendre ?


L'affaire est délicate.

Vous devez en effet immédiatement prendre un avocat et faire réaliser une expertise tendant à déterminer les causes de la mort. En conséquence, après l'incinération, il ne sera plus possible de faire quoi que ce soit si l'expertise n'a pas été faite.


En effet, en l'absence d'une telle expertise, aucune action n'a de chance d'aboutir. L'hôpital pourra toujours prétexter qu'il n'y a pas eu d'erreur de traitement et que l'erreur figure uniquement sur le papier que vous avez ramassé.

En outre, ce type de litige est toujours délicat compte tenu de la difficulté à déterminer des responsabilités lorsque le patient décédé est âge.

Aussi, je vous invite à agir très rapidement.




Très cordialement.

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