Désolé j’avais exercé mon droit à la déconnexion aoûtienne.
Il semble donc, chère Isadore, que ma légitime insatisfaction exprimée ici en toute liberté m'ait finalement permis d'obtenir les réponses professionnelles que j'attendais et j'en remercie pour cela Abalde et Jodelariège qui m'ont en effet confortée dans ce qui paraissait être une évidence.
Néanmoins je note une argumentation qui continue d’amuser : on confond ‘liberté d’expression’ et ‘venant’ ? du prosélytisme ce dernier lui-même controversé puisque liberté de prosélytisme il y a ( à la condition de ne pas limiter la liberté d’autrui…) tant dans les textes nationaux qu’Européens.
La suite est tout aussi risible avec des menaces de cour de maternelle (et je suis toujours polie ici) ‘victime de notre épouvantable censure’, ridicule vraiment, là c’est vous qui violez votre sacro saint petit règlement intérieur de facto soumis à la loi, que vous confondez sans doute avec le règlement du pouvoir exécutif.Vous pensez être twitter ou plutôt X dont les suspensions sont plus que controversées puisqu’illégales et politiques, mais surtout la preuve d’une grande faiblesse ?
Votre réponse qui reste sur le site je crois saura informer vos futurs intervenants qu’à vous consulter il signeraient un contrat ‘tacite’…où figure t-il ? puisque vous imposeriez des règles que vous ne respectez pas. Je pense que c’est vous qui devriez ‘ allez exprimer votre liberté’ d’agresser ailleurs par frustration car en terme de modération vous avez beaucoup à apprendre. Cessez donc de me faire perdre mon temps je m’adresse à des professionnels. Merci.
Chers Abalde et Jodelariège, c’est vous que je remercie sincèrement.
Vous notez bien qu'il me fallait être informée auquel cas le LRAR s'impose par définition, seule à même de prouver m’avoir 'informée de ce délai de 2 mois pour déposer mon recours.
Toutefois j'ai également mentionné le fait qu'ils n'avaient aucun droit de me radier purement et simplement même si j'avais reçu ce courrier sans qu'il me soit possible de m'expliquer dans ce cas fournir simplement des relevés manquants devant une commission.
Ici seule une suspension d'un mois était possible.
La qualification de L'abus d'autorité dirigé contre l'administration qui réside dans la qualification pénale de « l'échec à l'exécution de la loi », délit incriminé par les articles 432-1 et 432-2 du code pénal, ne s'applique-t-elle pas ici de façon caricaturale ? N'oublions pas qu'ils REFUSENT de me fournir ce document même à postériori, comme s'il n’avait jamais existé...
Quant au fait de ne pas respecter une procédure claire (suspension d'un mois, commission avant radiation etc...), n'y a-t-il pas là clairement, et évidement je me sens fondée à consulter un avocat que cette affaire devrait enthousiasmer (seriez-vous disponible ?), un détournement de procédure? Quels articles le censure?
Enfin étant donné que l'administration qui a failli délibérément et me laisse sans aucun revenu pour une période insensée allant de 16 à 18 semaines, suis-je habilitée à réclamer des dommages et intérêts?
Encore merci infiniment .
Modération : propos dénigrant d'autres membres supprimés