Bonjour Henriri,
Citation :
En tout cas personne ne peut "prouver" la condition "un seul utilisateur", même dans le cas d'un véhicule personnel (qui aura d'ailleurs bien été prêté quelques fois...)
Donc, si je vais dans votre sens, l'arrêt de la cour de cassation n'a pas de portée réelle.
Et le terme "première main" n'a aucune valeur, ni commerciale, ni juridique.
Pour revenir à ma question initiale :
- la cour de cassation déclare:
"qu'il convient en l'occurrence de s'en tenir au sens des mots ; que, si le garage X...( OU MONSIEUR BLANDIN PAR EXEMPLE, PEUT IMPORTE S'IL S'AGIT D'UNE PERSONNE MORALE OU PHYSIQUE, NON ? ) ne pouvait garantir que les véhicules en cause n'avaient eu qu'un seul utilisateur, il appartenait au prévenu de renoncer à l'expression " première main ".
La DGCCRF déclare "Or, la Cour de cassation[5] définit la notion de 1ère main par deux critères cumulatifs : le véhicule ne doit avoir appartenu qu’à
un seul propriétaire et n’avoir été manipulé que par un seul conducteur."
La DGCCRF rajoute un critère ,non ?
Si je ne me trompe pas, sur quoi, la DGCCRF, se base t-elle pour produire ce deuxième critère ?
Cordialement.