Cher monsieur,
Citation :
Ce dimanche matin,j'ai consulté cette feuille et je me suis
rendu compte qu'on lui avait administré le 9/3 à 22h un
tranquillisant appelé IMOVANE dosé à 7.5 MG, or ce médicament doit être délivré au personne de + 65 ans à
dose de 3.75 MG , DANGEREUX pour l'insuffisance respira
toire sévère et sujet à risque.
La façon dont ma épouse avait été reçue et la manière
du cardiologue à lui répondre, nous ont fait soupçonner
surtout une erreur de prescription et non un traitement
non supporté par mon beau-père qui était,la veille prêt
à quitter ce service car allant mieux.
Son médecin traitant ne lui donnait jamais de tranquillisant car il ne les supportait pas. Voyant la
dose prescripte, nous ne serions pas étonnés que c'est ce
cachet donné à 22h la veille qui l'a plongé dans une
insuffisance respiratoire aîgue.Comment pouvons nous défendre ?
L'affaire est délicate.
Vous devez en effet immédiatement prendre un avocat et faire réaliser une expertise tendant à déterminer les causes de la mort. En conséquence, après l'incinération, il ne sera plus possible de faire quoi que ce soit si l'expertise n'a pas été faite.
En effet, en l'absence d'une telle expertise, aucune action n'a de chance d'aboutir. L'hôpital pourra toujours prétexter qu'il n'y a pas eu d'erreur de traitement et que l'erreur figure uniquement sur le papier que vous avez ramassé.
En outre, ce type de litige est toujours délicat compte tenu de la difficulté à déterminer des responsabilités lorsque le patient décédé est âge.
Aussi, je vous invite à agir très rapidement.
Très cordialement.