Bonjour,
Je n'ai pas dit qu'un éditeur était nécessairement un concédant mais simplement que lorsqu'il cédait ses droits, il était nécessairement un concédant.
Un éditeur se définit généralement comme le créateur d'une oeuvre. Il devient concédant lorsqu'il cède une partie de ses droits à une personne afin qu'elle en assure la promotion par exemple.
Citation :
Je comprends que le concédant (de travaux publics, de distribution d'automobiles, de droit d'usage d'un logiciel ...) serait une notion large qui engloberait celle d'éditeur.
Dans ce cas, il ne s'agit pas d'un "concédant", définit comme celui qui "cède", mais d'un "concéssionnaire", définit comme celui qui gère des droits pour le compte d'un tiers.
En tant que créateur, vous pouvez donc faire deux choses:
-Soit vous concédez une partie des droits afférents à vos création; Vous bénéficierez ainsi de la rémunération au titre des "droits d'auteurs". Le concéssionnaire (maison d'édition par exemple) bénéficiera alors des bénéfices autres que ceux relevant des droits d'auteurs.
-Soit vous vendez vous même votre logiciel et dans ce cas, vous bénéficierez de la rémunération au titre des droits d'auteurs mais également du surplus du fait de l'absence d'intermédiaire.
Citation :
L'auteur je crois aussi, s'il n'est pas éditeur, bénéficie de déduction fiscale forfaitaire...
Je n'ai pas connaissance d'une telle règle surtout s'agissant des créateurs de logiciel.
Les musiciens et interpèrtes disposent de la possibiltié d'être imposé dans la catégorie traitement et salaire plutot que dans la catégorie des BNC.
Les "auteurs" bénéficient de la déduction forfaitaire de 10% pour les frais professionnels, ceci, que vous soyez le créateur ou le concéssionnaire.
Je ne vois donc aucune différence notable entre les deux notions.
Bien cordialement.