Kang vous vous contredisez.
A l'égard des tiers, l'autre parent est présumé agir avec l'accord de l'autre. Donc le tiers n'est pas responsable si l'autre parent ment pour obtenir un avantage qui lui serait refusé par l'ex.
Dès lors, le refus de l'ex doit se faire à l'autre parent et pas au tiers, car l'autre parent est présumé de bonne foi.
Les tiers n'ont pas à savoir la vie des 2 parents, sauf décision de Justice ou acte réglementaire pris dans un certain contexte (départ des enfants vers une zone de guerre comme on a vu avec la Syrie).
Après si la mairie ou l'école veulent vérifier, pourquoi pas, mais c'est aussi un abus de pouvoir d'un certain côté.
Si l'autre parent est parti sans laisser d'adresse ou qu'il est en balade à l'autre bout du monde sans moyen pour le joindre (exemple typique du militaire en opération spéciale ou le sous marinier) ou un marin au commerce, le tiers ne pourra rien vérifier du tout et occasionnera, par son refus et insistance, un préjudice à l'enfant qu'il devra par la suite assumer. Il sera pleinement responsable.
Restons donc uniquement dans le cadre réglementaire au lieu de partir sur des suppositions et interprétations de la loi.
Tant que l'ex n'a pas écrit à l'autre parent qu'il refusait telle ou telle chose qui relève d'un acte usuel, l'autre parent a donc l'accord de l'ex.
C'est exactement ce que dit l'article que vous citez et qui est le contraire de votre phrase:
Citation :
C'est au parent qui veut faire quelque chose de s'assurer que l'autre est d'accord
car les parents agissent de bonne foi.