Chère madame,
Citation :
hors délais de 1 mois si on prend cette date là, d'après le notaire le fermage étant payé le 25/03 de chaque année la date du bail est de mars, d'ou je suis d'après lui repartie pour un bail de 9 ans à un prix dérisoire en plus ( 2000 euros) pour des bâtiments d'exploitation une maison et 29 ha de terrains.D'aprés le notaire, la résiliation devant se faire 18 mois avant l'expiration du bail qui est donc toujours d'aprés lui en mars 2012, le courrier aurait du être fait en septembre 2010, sauf que je n'étais pas propriétaire.Qu'elle solution j'ai pour vendre ces terrains qui font partis du bail à ferme et la maison ( le fermier étant bien entendu prioritaire à prix égal) si ce dernier y met de la mauvaise volonté , ce qui semble être son intention, il n'avait pas pris la retraite en espérant récupérer la propriété auprés de la safer si les héritiers avaient vendus.Puis je résilier le bail, pour le mettre à mon nom, et sortir les parcelles constructibles, je ne suis pas contre le fait de le garder comme fermier, si je peux vendre. Bien entendu si on peu s'entendre c'est mieux, sinon qu'elle solution puis je avoir. Le notaire dois le rencontrer dans un premier temps pour connaitre ses intentions. Je ne souhaite pas vendre la propriété, uniquement le constructible pour payer les droits.
Hélas, je vais être même plus pessimiste que votre notaire. Non seulement, il faut bien respecter un délai de préavis de 18 mois avant le terme du bail (qui sera fixé par le juge, mais je rejoins l'avis de votre notaire pour le faire partir en mars), mais bien plus ce congés doit être motivé par des évènements très restrictifs essentiellement liés à la faute du locataire.
Il n'est pas possible de donner un congés pour vente. Si vous vendez le bien loué, alors le locataire pourra préempter, la SAFER également, et si personne ne préempte, alors le bail se poursuivra avec le nouveau propriétaire.
Il faudrait indemniser le locataire afin de faire un compromis. Ce serait à mon sens ici la meilleure solution.
Très cordialement.