Citation :
Si les parties n'arrivent pas à s'entendre sur qui va écrire quoi, ça augure quand même mal de la suite...
Les parties sont d'accord. C'est la mise en œuvre technique qui pourrait être bloquante
Je comprends que l'avocat sera donc en première place dans cet accord, on doit se parler bientôt.
Sur le dénouement du contrat, l'idée n'est pas "d'ajouter" un bénéficiaire mais de convenir ensemble que
- Contrat 1 bénéficiaire A conformément au premier testament
- Contrat 2, 3,4 5 et 6 bénéficiaire B conformément au dernier testament
en se référant à l'ensemble des testaments déposés à l'ouverture de la succession.
Le deuxième testament est assez flou et ne désigne pas les testaments individuellement.
Je crois savoir que deux testaments sont cumulables si il n'y a pas révocation du testament précédent ?
Une difficulté du sujet étant qu'il faudrait convenir d'une quotité du contrat, l'épouse (B) n'étant prête à lâcher que 75% du contrat 1... => est ce entendable ?
Alternativement, il était possible d'arriver à un montant équivalent en "panachant" d'autres contrats, mais non prévus dans le premier testament (2+3+4 alors qu'initialement prévu 1+2). L'avantage de la possibilité de scinder une AV étant de rester proche du premier testament.
Et est ce que le fisc va aller lire dans les testaments ? Je pensais que c'était la dévolution successorale qui venait entériner tout ça en définitive...
De ce que je retiens de nos discussions en définitive c'est que, pour sécuriser la possibilité du maintien du bénéfice fiscal :
- l'accord doit être rendu exécutoire
- il faut un rescrit fiscal
ma compréhension est elle correcte ?
à défaut il faudra poursuivre la procédure en nullité, jusqu'à ce que la justice tranche