Bonjour Miouz,
Citation :
il faut l'accord des membres de la famille
Je mets en doute cette assertion, trop globale et qui ne semble pas correspondre aux étapes de la procédure.
Le dépôt de la demande d'habilitation familiale, selon
http://www.justice.gouv.fr/justice-civile-11861/lhabilitation-familiale-30389.html#:~:text=L'habilitation%20familiale%20peut%20%C3%AAtre,l'exercice%20de%20la%20mesure.
ne demande aucune autorisation écrite d'aucun membre de la famille. Dans la partie "situation personnelle de la personne à protéger, vous listerez la petite-fille avec NON dans la case de droite (et l'autre petit-enfant). Ce qui qualifiera ce membre de la famille de NON-PROCHE.
Ensuite, ce qui est déterminant est :
"Le juge doit s'assurer de l'adhésion des proches ou, à défaut, de leur absence d'opposition légitime."
Il me semble que, devant la position connue de la petite-fille, le juge ne mettra pas longtemps à s'apercevoir de "l'absence d'opposition légitime" d'une personne qui n'est pas proche. Une personne qui réclame des droits d'héritage sur une personne non décédée .. hum hum !
Par ailleurs, si vous avez des "preuves" (témoignage du notaire, par exemple) des actions de ladite petite-fille, vous pouvez entamer une procédure pour harcèlement (témoignage du notaire, par exemple).