Citation :
On est quand même loin de l'interprétation suggérée plus haut.
Pas du tout. Une simple consultation écrite entre 5 personnes,
toutes d'accord. C'est ce qui a été dit plus haut.
J'ai également rappelé, à l'aide du décret du 17 mars 1967 que certaines règles étaient associées à ce modus operandi.
Avec le cafouillis des contestations injustifiées dans tous les sens, le fil finit par se perdre.
Evitons la mauvaise foi.
Donc je rappelle que :
La question posée a été complétée par une information sur une AG prochaine, cette dernière ayant été annoncée comme "sans résolution", ce qui a été ensuite corrigé dans le sens de la loi, avec le minimum du vote du budget et des comptes.* Mais RIEN à propos d'une autorisation éventuelle pour l'ouverture du snack.
J'ai donc enchainé sur l'ouverture "conditionnée" permise aux petites copropriété via une consultation ou une réunion plus informelle avec la restriction que l'unanimité était requise. Signalée en tant que possibilité, ce n'était nullement présenté comme une obligation, cet aspect étant différent. Et sur ce point, mon AVIS est dicté par la prudence.
C'est tout, et il n'y a aucun motif sérieux de me chercher des poux dans la tonsure comme s'y livrent deux intervenants. Enfin, s'agissant de donner un AVIS argumenté et rien de plus, interpréter ceci comme une volonté d'avoir toujours raison est aussi de la mauvaise foi, comme oublier de reconnaitre que l'article 42.3 existait bien après avoir affirmé le contraire, ou de dire que l'unanimité était un aspect éloigné ...
Il n'y a en fait qu'une alternative à la question initiale, éclaircie par la loi qui a été citée, en même temps, par deux intervenants :
- Considérer que la restriction du RdC est caduque ou ne s'applique pas à l'ouverture d'un SNACK, ce qui permet de procéder sans plus de considérations, AVIS de Nihilscio.
- Considérer que le sujet pourrait être litigieux et requiert de blinder l'autorisation par un formalisme simplifié s'il appert que les 5 copropriétaires sont d'accord, ceci est mon AVIS. C'est une prudence liée à la lourdeur des investissements pour créer un Snack.
Sauf erreur ou omission.
Les autres considérations sont sans objet.
Personne n'a tort ni raison, ce sont deux AVIS.
Que les écorchées passent leur chemin, pour aller au poney, par exemple.