@A17
Relire tous les messages commence à être fastidieux mais :
Citation :
Et à niveau moindre, par exemple quand on est mal conseillé par un professionnel, personne n’ose dire qu’elle est la procédure pour tenter de faire prendre en charge par une assurance ce préjudice financier… que cela soit ici sur le forum ou lors de consultations en cabinet.
Il me semble que ce sujet a été abondamment évoqué.
Le principe en est fort simple. Ceux qui ont pour tâche une activité qui se rapproche du Conseil doivent prendre une assurance RC. Et si les "conseils" ou actions du professionnel conduisent à un DOL pour le client, ce dernier peut assigner le professionnel au civil et réclamer des dommages et intérêts au professionnel. Ce dernier, s'il est condamné, fera jouer sa RC.
La difficulté pour le client va résider principalement à apporter les preuves du dol subi.
Et pour ce qui concerne les divergences d'opinion, la plus notable me paraît être ce qui concerne l'application d'une indemnité d'occupation, une fois le divorce prononcé.
Sur ce sujet, de nombreux tribunaux émettent des décisions, et sont susceptibles de les détailler plus ou moins. Dans votre cas, pour ma part, j'ai considéré que l'ONC et le divorce avaient été prononcés par le même tribunal. Et si ce dernier dit "onéreux" dans l'ONC et ne dit rien dans le divorce, la cohérence est de dire qu'aucune indemnité n'est due après le divorce. Ceux qui disent le contraire peuvent avoir des expériences avec d'autres tribunaux, ce que je ne considère pas comme probant. A vous d'adapter ce qui vous est dit et de juger selon les détails que VOUS connaissez, par exemple, était-ce le même juge/tribunal ou pas ?
Par ailleurs, vous ne pouvez pas avoir le beurre et l'argent du beurre, vous plaindre de ce que votre ex soit entrée dans la maison et vouloir échapper à l'indemnité d'occupation. C'est contradictoire.
Pour moi, le jugement de divorce vous maintenait dans la maison, à charge d'organiser le partage rapidement, et votre ex. avait un droit d'accès normal d'indivisaire.
Là aussi, si vous avez des raisons, avec preuves, de vous plaindre, il n'y a pas lieu de tergiverser et d'attendre en vous posant 10.000 questions.
C'est un AVIS. PS. Je ne suis pas avocat.