@JBL
VOUS avez écrit :
Citation :
il nous a été spécifié que nous étions redevables de toutes les charges qui adviendraient après la date de signature mais que les charges antérieures à cette date seraient à la charge du vendeur (mentionné aussi dans l'acte de vente).
Donc, soit votre affirmation (soulignée) est conforme à ce qui est écrit dans l'acte de vente, soit, elle ne l'est pas.
Point n'est besoin d'une convention détaillée supplémentaire dans l'acte ou y attachée, à partir du moment où une mention de ce type y figure.
Comme déjà indiqué, le fait que le SYNDIC vous facture, VOUS, est normal et conforme à la loi. Il s'agit ici de débattre de la possibilité ou pas que vous avez de vous retourner vers votre vendeur pour qu'il assume les dépenses qui sont de son fait et pas du vôtre.
Il est normalement du rôle du notaire, lors de la signature, d'attirer votre attention sur le décalage à peu près systématique, et parfois long, qui existe dans les copropriétés entre le coût de la "consommation" effective et au quotidien de "ressources" communes, et l'ajustement effectué entre leur coût estimé et leur coût réel.
Ce "conseil" est le plus souvent assorti de la rédaction d'une clause qui permet d'imputer le coût final d'une dépense de type charges à celui des copropriétaires qui en a décidé ou qui en a bénéficié.
Pour mémoire, l'approbation des comptes est ce qui est décidé lors d'une AG, par le Syndicat, sur présentation des résultats par le Syndic, alors que l'apurement (ou tout terme proche) est sa traduction aux comptes individuels entraînant soit un remboursement, soit un appel complémentaire. Il n'y a pas lieu de mélanger les DEUX opérations et encore moins de les confondre.
Donc, SVP, confirmez ou infirmez ce que vous avez écrit.