Citation :
Contrairement à vos affirmations, toujours de la plus extrême amabilité (hum hum), j'ai parfaitement lu l'intégralité de cet article 1, y compris le II 2%. Les terrains nus qui y sont cités ne peuvent qu'être déjà privatifs. Il ne sont donc pas concernés. Et si le terrain est privatif et la maison aussi, il n'y a plus de copropriété. Surtout s'agissant d'un lot de lotissement coupé en deux.
Comme d’habitude, vous mélangez tout, compliquez tout, embrouillez tout.
Des terrains nus peuvent être privatifs. En pratique, c’est rare. Dans la copropriété en question il n’y en a pas puisque nous savons que la totalité du sol est partie commune. Donc inutile de se perdre dans des considérations hors sujet.
Citation :
Et pour l'instant, l'histoire de cette copropriété reste mal connue.
Reste à connaître, si l’on veut défendre le droit de circuler sur tout le terrain, le contenu de l’état descriptif de division afin de savoir si l’on peut en déduire que les deux copropriétaires ont chacun ou non un droit de jouissance privative. Mais dans quel intérêt ?
Citation :
Faire semblant de tout ignorer comme vous le conseillez ne peut être une solution.
Il ne s’agit pas de faire semblant de tout ignorer mais d’adopter l’attitude la plus sensée qui prévienne les conflits avec le voisin : considérer que le terrain est partagé en deux parties chacune réservée à un copropriétaire, chacun chez soi. Non seulement c’est une solution, mais encore c’est la seule.
D'ailleurs il y a lieu de s'interroger sur la raison d'être de l'adoption du régime de la copropriété dans le cas présent. Qu'a recherché celui qui en a pris l'initiative ? Que doit-il en résulter ? C'est la question à laquelle l'article 1188 du code civil incite à poser :
Le contrat s'interprète d'après la commune intention des parties plutôt qu'en s'arrêtant au sens littéral de ses termes. Lorsque cette intention ne peut être décelée, le contrat s'interprète selon le sens que lui donnerait une personne raisonnable placée dans la même situation.
Ne pas prendre conscience que cette copropriété est une fiction juridique, une coquille vide, ne peut avoir que des inconvénients. La preuve en est la plainte déposée par le voisin.
Citation :
Vous voudrez bien , ainsi que je vous l'ai déjà demandé, cesser de verser votre bile en réponse à mes interventions.
Non, je ne veux pas. D’ailleurs, je constate que je suis pas le seul que vous irritez.