Bonjour,
Pas d'accord avec Yapasdequoi et Isernon.
Je suppose, pour dire cela, qu'il existe bien un TITRE d'indivis dans lequel la répartition est inscrite à 50/50.
Eh bien la loi et la Cour de Cassation ont dit que, dans ce cas, le financement du bien commun n'a pas d'importance, il n'y a que le titre qui compte. Donc, même si l'un des indivis a versé 75% du financement, si le TITRE dit 50/50, il faudra faire la répartition à 50/50 lors de la liquidation.
Et si c'est comme ça, le notaire doit respecter le titre et n'a rien à bloquer. Le document signé engage les deux indivis et il n'est donc pas possible de changer d'avis après. Un nouvel 'accord' ne semble pas non plus nécessaire !
Désolé pour la contradiction, est-ce que je me trompe ?