Je répète pour Nihilscio qui ne comprend donc pas :
Je cherche des pistes pour aider Astrida. Ce qui n'est certainement pas le cas de la lectures des œuvres de Mme de La Fayette.
Citation :
Les commissions municipales sont des commissions d'étude. Elles émettent de simples avis et peuvent formuler des propositions mais ne disposent d'aucun pouvoir propre, le conseil municipal étant le seul compétent pour régler, par ses délibérations, les affaires de la commune.
Donc, Astrida, par quel genre de biais votre commission d'urbanisme s'est-elle cru autorisée à penser que ses délibérations avaient une quelconque valeur et qu'elle pouvait vous communiquer un accord qui ne relève pas de son autorité ?
Et encore qu'il soit sous SON autorité de lancer les procédures liées à la cession du terrain concerné ?
Ceci tendrait à prouver qu'il y a un dysfonctionnement dans les affaires de votre commune avec des entités qui se prennent pour ce qu'elles ne sont pas. S'il se trouve que cela peut être raisonnablement prouvé, c'est une base de recours.
Dit autrement, vous avez reçu un mail, ce qui n'est pas vraiment un document officiel, mais si le Conseil Municipal avait chargé cette commission de vous transmettre l'information concernant une décision, cette dernière aurait dû être officialisée. Chaque mairie maintient un registre de ses délibérations. Pourriez-vous essayer d'y avoir accès ?
Pour ce qui concerne le prix, celui-ci est normalement établi par les domaines. Pourriez-vous savoir si, suite à la préparation de votre promesse de vente, il y a eu une nouvelle consultation ou si l'augmentation du prix vient d'une décision communale isolée ?
Mon propos est simple :
Vous avez crû la commune engagée par un simple mail. Formellement, ce n'est pas possible. C'est la position de Nihilscio, et il a raison. Maintenant, peut-il exister des voies de recours, peut-on invoquer une erreur humaine, un abus de pouvoir ? C'est votre question.
Donc, j'essaye de comprendre ce qu'il y a derrière le mail, et de dégager, si possible une solution. Répondre NON, c'est foutu, ne peut pas aider.