Bonjour,
Citation :
les prêts concernant la maison et la voiture ont été contractés solidairement . l' excédent de versement dont je vous ai informé n'est pas une libéralité mais une obligation contractuelle car découlant de la solidarité des emprunteurs et des facultés contributive de chacun. autrement dit ma fille a suppléé obligatoirement a son ex concubin.
Vous dites que votre fille a supplée obligatoirement à son ex-concubin: Votre fille y a t-elle été contrainte par un tribunal? L'ex-concubin avait-il des difficultés avérés quant au remboursement du crédit? Si oui, alors aucun soucis effectivement bien que cela puisse toujours se discuter devant un tribunal.
Si non, alors l'existence d'un "co-emprunt" et donc d'une solidarité, n'a pas ipso facto pour conséquence, que votre fille était contrainte de verser d'avantage que sa part.
Citation :
par ailleurs, l' avocat n' a pas reçu mandat spécial pour aller au délà des desideratas de ma fille ( affectation du produit des ventes appartement + voiture sur la base de 25/75 au prorata des apports respectifs.)
Sur ce point en revanche, je n'ai pas fait référence à l'obligation d'établir un mandat spécial. Simplement à partir du moment où l'affaire est confiée à un avocat, alors si les grandes questions doivent faire l'objet d'un accord, sinon tacite, de votre fille, les questions procédurales relèvent à tout le moins de son unique compétence.
Citation :
est ce le role de l' avocat de ma filles de demander au juge de mise en l' état de suspendre la procédure en cours à la place de l' avocat de la partie adverse qui n' a pas donc dépose ses conclusions auterme du délai imparti (15 avril) a cause d' une hypothétique tentative de reglement amiable
Cela peut rentrer dans son rôle puisque à défaut de conclusions remises dans les délais, alors la procédure pourrait très bien continuer puis le jugement annulé pour violation du principe du contradictoire. C'est donc une stratégie comme une autre pour votre avocat, que de demander lui même le report de la procédure.
Citation :
dans le cas ou malgré tout eu égar a la quotité de proiprété de chacuna 50/50 d' aprés les actes un réglement sur la base de de 50/50 alaors que leconcubin a payer 25% ne constituerait nil pas un enrichissement sans cause non justifié en l'absence de libéralité avérée?
Si le juge statue pour une répartition à 50/50, c'est qu'il estimera que justement, il y a bien une libéralité (indirecte), donc le problème ne se pose pas vraiment.
Très cordialement.