Cher monsieur,
Citation :
le notaire lui a demandé son accord verbal de renoncer à intégrer ces travaux dans le calcul de la succession, et elle a accepté verbalement.
maintenant qu'elle me connait et me raconte son histoire. j'ai demandé au notaire de revoir sa position, et de signer un " procès verbal de difficultés" . le notaire ne veut pas , argumentant qu'il avait eu en son temps l'accord verbal de mon amie pour ne pas intégrer les travaux.
ma question est donc : en dehors des pleurs , quel est la valeur juridique d'un accord verbal , non suivi d'une signature.
Tant que le projet de partage n'a pas été signé à l'unanimité des héritiers, s'il y en d'autres, votre amie n'est absolument pas engagée.
Le partage d'une succession étant un acte important, il convient d'avoir un accord écrit et unanime. Un simple accord verbal n'a dès lors aucune valeur.
Très cordialement.