Citation :
Il lui dit simplement que s'il compte quitter définitivement son emploi, il doit démissionner.
Dans le contexte que l'employeur ait demandé à son employé de partir la veille ( avec des " formes" plus ou moins mises connaissant un peu le secteur)avec un arret de travail qui s'enchaine, ça sent quand même l'employé qui va se servir de cet écrit pour lui donner une autre interprétation et qui n'aura rien à perdre à aller devant le CPH .
Se mettre en arrêt après un contact de l'employeur non officiel= il connait les usages .
Si on considère qu'il y a faute de l'employé on fait une procédure disciplinaire, on ne lui fait pas des multiples remontrances, on ne lui demande pas de partir de l'entreprise ( être employeur ne donne pas le droit d'infliger des corrections et des humiliations)
Connaissant le secteur et la façon subjective d’interpréter le code du travail, je ne peux qu'inciter l'employeur à la prudence .
Et à se former pour ne pas tomber dans un piège qu'ils auront créé eux même par méconnaissance des règles .
Mais vous pouvez avoir un autre avis à donner au sujet d'un éventuel licenciement ; moi, dans le contexte d'une contestation, je vois déjà les arguments justifiés de l'employé .
Je ne vois pas les arguments
justifiés de l'employeur
.Pour les absences, seule une mise en demeure peut les justifier ( car je suppose qu'il n'y a pas de pointeuse)
En justice il ne faut pas dire mais prouver ( et si on dit sans prouver ça peut se retourner très facilement contre nous)