Cher monsieur,
Citation :
Il me dit que la jurisprudence actuelle permet après avoir informé par LRAR l'employeur, même pendant l'arrêt maladie, que je sollicite un RDV de reprise à mon médecin du travail.
Vous avez bien compris, il s'agit de tout faire en un seul RDV. Je n'ai encore eu aucun RDV. Cela permet d'aller plus vite selon les directives de la direction de la médecine du travail et d'éviter de confronter l'employeur au salarié oppressé.
Qu'en pensez-vous ? Est-ce exact ? j'entends un peu de tout la-dessus. Juridiquement, pas de préRDV, y a t il une jurisprudence, après tout si le médecin du travail ficelle bien son dossier ?!
Tout à fait: Il est possible d'éviter les deux examens médicaux obligatoires par le médecin du travail, mais uniquement si le maintien du salarié à son poste de travail entraîne un danger immédiat pour sa santé ou sa sécurité.
Citation :
Mon avocat me répond de continuer sur le licenciement pour inaptitude car on ne peut pas attaquer aux prud-hommes après une rupture conventionnelle, alors que le licenciement pour inaptitude oui puisque provoqué (dans mon cas, preuves à l'appuis) par les torts de l'employeur. J'ai consulté un ancien "gradé" de l'inspection du travail qui dit lui que l'on peut attaquer une rupture conventionnelle. Donc je vous consulte parce que je ne sais plus.
Je comprends pas: Pourquoi souhaitez vous aller devant le conseil des prud'hommes si la négociation amiable parvient à son terme? Que souhaitez vous attaquer au juste?
Citation :
3°- as-t-on les mêmes indemnités dans les deux cas ?
La rupture conventionnelle ne peut pas donner lieu au versement d'une indemnité inférieure à l'indemnité légale de licenciement. L'indemnité conventionnelle est donc forcément supérieure à l'indemnité légale.
Très cordialement.