Je ne suis pas d'accord avec vous Morobar, les décisions de justice rendues prouvent le contraire de vos dires .
Les conséquences de la demande de résiliation judiciaire du contrat seront bien pris en compte .
Un employeur peut licencier pour un autre motif l'employé pendant toute la durée de la procédure ( rappelons que l'employeur n'est jamais responsable de l'inaptitude constatée du salarié)
Citation :
Mais attendu que la prise d'acte de la rupture par le salarié en raison de faits qu'il reproche à son employeur entraîne la rupture immédiate du contrat de travail ; qu'il s'ensuit qu'elle ne peut être rétractée et que le moyen qui invoque, en ses deux premières branches, la dénaturation d'une prétendue rétractation par le salarié de sa prise d'acte de la rupture est inopérant ;
Citation :
Le contrat prend alors fin le jour de la décision judiciaire lorsque l’employé a continué de travailler pour l’employeur durant les procédures (Cass. soc. 11 janvier 2007, n°05-40626). En revanche, si le salarié est licencié pendant les démarches, on retiendra la date d’envoi de la lettre de licenciement pour mettre fin au contrat.
La procédure de résiliation judiciaire suivra quand même son cours , même si le contrat est résilié : on retiendra la date du licenciement pour inaptitude pour prendre en compte ces potentiels effets ( préavis, dommage et intérêts)
Après vous êtes libre de me prouver le contraire avec des décisions qui me donneraient tort .
Pour le reste en justice , il ne faut pas dire, mais prouver.
Vous avez interet à avoir des elements prouvant vos dires, dans ce que vous dites, le délit d'entrave je ne le vois pas clairement, à moins que vous ayez présenté votre candidature
Je suppose que vous êtes aidée par un défenseur syndical ou un avocat, car les décisions récentes sont beaucoup plus exigeantes envers le salarié sur ce point .